Perdre du poids sans se priver, promesse tenue ou mirage de plus ? Qilibri s’est imposé avec une méthode qui ne parle pas d’interdits, mais d’équilibre et de cadre. En 2025, ce programme associe repas livrés, suivi diététique et coaching sport, avec une promesse simple : des résultats durables, sans fatigue ni effet yo-yo. L’analyse qui suit s’appuie sur des faits, des chiffres et des retours d’expérience concrets. Objectif : vous aider à décider sereinement si Qilibri vous convient, et comment l’utiliser au mieux.
Qilibri 2025 : le constat, les causes et le bon cadre pour perdre du poids
La prise de poids ne vient pas d’un seul facteur. Elle s’installe par petites touches. Un dîner tardif après une réunion. Un goûter sucré pour tenir jusqu’au soir. Un déjeuner pris sur le pouce, pauvre en protéines, riche en sucres rapides. Le stress augmente le cortisol. La fatigue grignote la motivation. Et la balance monte, par demi-kilo, sans bruit. Qilibri s’adresse à ce quotidien réel. Celui où le temps manque, mais où l’envie de se sentir léger revient chaque matin.
Le contexte post-confinements a laissé des traces. Les études françaises ont montré une prise moyenne d’environ 2 à 3 kilos chez de nombreux adultes. En 2025, la sédentarité reste élevée dans les métiers sédentaires. Les applications de livraison facilitent des repas plus riches et moins contrôlés. Les journées chargées fatiguent et poussent aux choix simples. Si manger devient une suite de décisions rapides, l’équilibre s’efface. Un programme qui structure la journée supprime une grande partie de ces micro-décisions épuisantes.
Qilibri répond par un trio clair. Des plats prêts à consommer, calibrés entre 350 et 400 kcal. Un suivi régulier avec un diététicien diplômé. Des séances de sport en ligne, accessibles et adaptables. Le cadre ne remplace pas la motivation, il l’économise. Moins de questions. Plus de constance. Dans les retours clients, une donnée marque : une note moyenne de 4,5/5 sur plusieurs milliers d’avis vérifiés. Cette satisfaction reflète un ressenti simple : le programme est pratico-pratique, on peut le suivre même avec un agenda serré.
Les plaintes les plus fréquentes, en dehors du poids, touchent l’énergie et la digestion. Le manque de protéines aux repas favorise les fringales. Les pics glycémiques fatiguent. Des portions trop petites frustrent. Qilibri soigne ces points : protéines réparties sur la journée, index glycémique maîtrisé, Nutri-Score A ou B sur la majorité des plats, et portions rassasiantes. Les retours de type “deux kilos perdus en deux semaines” existent, sans promesse irréaliste. La méthode propose 6 jours encadrés, 1 jour libre. Cette journée de souffle évite la frustration. Elle apprend aussi à gérer un repas de famille ou un apéritif sans angoisse.
Le blocage le plus courant se joue dans la tête. “Et si je reprends tout après ?” Cette crainte est légitime. Un cadre trop strict casse au premier imprévu. Un cadre intelligent s’insère dans la vraie vie. Ici, l’accompagnement téléphonique toutes les deux semaines transforme les difficultés en ajustements. Faim en fin d’après-midi ? On revoit la collation. Deux séances de sport ratées ? On planifie des marches rapides de 20 minutes. Chaque semaine apprivoise la suivante. L’objectif n’est pas de tenir 30 jours, mais de retrouver des réflexes durables.
Ce constat mène à une thèse nette : pour une majorité de personnes pressées, la force de Qilibri n’est pas la restriction, c’est l’organisation. Et l’organisation, répétée, devient une routine qui fait réellement baisser l’aiguille.
- Déclencheurs de prise de poids fréquents : stress, manque de sommeil, repas rapides, grignotages.
- Conséquences visibles : ballonnements, fatigue matinale, fringales en soirée.
- Levier efficace : supprimer les micro-décisions et installer un cadre simple et stable.
- Indicateur social : satisfaction élevée et suivis perçus comme utiles.
- But final : des habitudes tenables, pas une course au kilo perdu en urgence.
Au fond, la bonne méthode n’est pas celle qui promet le plus, c’est celle que l’on peut suivre longtemps sans s’épuiser.

Comment fonctionne Qilibri : repas, calories, suivi et logistique expliqués
Le fonctionnement tient en quatre piliers. Des repas préparés et équilibrés. Un cadrage calorique autour de 1400 kcal par jour. Un suivi diététique personnalisé toutes les deux semaines. Un accès à des séances de sport en ligne, animées par des coachs diplômés. Ce socle vise un déficit calorique modéré. Le but est de perdre du poids sans faim excessive ni baisse d’énergie.
Les repas couvrent 6 jours sur 7, avec petit-déjeuner, déjeuner, collation et dîner. Plus d’une cinquantaine de plats sont proposés et renouvelés. Les recettes vont des émincés de poulet à la moutarde au cabillaud et boulgour, en passant par des options végétariennes comme les falafels au cumin. La majorité des plats affiche un Nutri-Score A ou B. Les recettes sont fabriquées en France, sans OGM, sans colorants artificiels, sans conservateurs artificiels. L’assaisonnement reste mesuré en sel et sans sucres cachés. La portion moyenne par plat tourne autour de 350 à 400 kcal, ce qui facilite le contrôle sans pesée compliquée.
La conservation est longue, entre 15 et 30 jours selon les références, grâce à un conditionnement adapté. La livraison arrive à domicile ou en point relais, avec un emballage pensé pour supporter le transport. Le planning de livraison est ajustable. Cela permet de caler la réception sur un agenda chargé, pour éviter la rupture d’organisation. Les plats se réchauffent en quelques minutes au micro-ondes, 12 minutes au bain-marie, ou au four. Un conseil simple améliore l’expérience : transvaser dans une assiette, ajouter des herbes fraîches, et une crudité en entrée pour la fibre et les vitamines.
Le suivi diététique personnalise le parcours. Il commence par un questionnaire “bilan minceur” qui tient compte de l’âge, du poids, de l’activité physique, mais aussi du rythme de vie et des connaissances nutritionnelles. L’algorithme suggère un programme en s’appuyant sur des profils ayant déjà perdu du poids. Le diététicien ajuste ensuite lors du premier appel, puis accompagne tous les quinze jours. L’objectif est d’éviter l’effet yo-yo, de corriger les habitudes, et de sécuriser la stabilisation. Les échanges portent sur les sensations de faim, la gestion des sorties, la composition des assiettes.
Le sport complète le dispositif. Une quinzaine de cours live sont accessibles chaque semaine : pilates, yoga doux, CAF, stretching, zumba. Les séances durent souvent moins d’une heure. Elles s’intègrent bien dans un quotidien chargé. Les coachs corrigent et motivent. L’activation musculaire augmente la dépense énergétique et améliore la composition corporelle. Un programme alimentaire sans mouvement réduit la dépense, ce qui limite la marge de manœuvre. Ici, le duo alimentation + activité construit une perte de poids plus stable.
Pour les jours de forte dépense (randonnée, sport intense), une collation protéinée ou un laitage avec un fruit peut s’ajouter. L’écoute du corps prime. Une sensation de faiblesse signale un apport insuffisant. À l’inverse, si l’appétit est faible, on peut alléger une collation. La souplesse encadrée vaut mieux que la rigidité.
Quelques limites existent. Les emballages génèrent des déchets. Des pistes de réduction sont étudiées, mais le volume reste réel. La transparence sur l’origine de tous les produits aquatiques pourrait progresser. Ces points n’annulent pas l’intérêt nutritionnel ni la praticité, mais ils comptent pour un consommateur attentif au développement durable et à la traçabilité.
- 4 repas par jour, 6 jours encadrés, 1 jour libre pour souffler et apprendre l’autonomie.
- Portions calibrées, protéines réparties, index glycémique travaillé.
- Suivi diététique par téléphone et via l’application, ajusté aux blocages réels.
- Sport en direct pour relancer la dépense et la motivation.
- Livraison souple, conservation longue, réchauffage rapide.
Au total, Qilibri agit comme un “filet de sécurité” logistique, nutritionnel et comportemental. C’est cette triple cohérence qui explique sa réputation solide.
Une approche pratique prend tout son sens quand la semaine déborde. Cette vidéo permet d’apercevoir concrètement le format des repas et le suivi proposé.

Résultats, retours clients et preuves d’efficacité sans promesse miracle
L’efficacité se mesure dans la durée et dans la vie réelle. Les témoignages montrent un démarrage souvent rapide sur les deux premières semaines. Un exemple typique rapporte environ deux kilos perdus en quatorze jours, sans faim permanente, avec des repas jugés “copieux” et “bons”. Ces retours s’expliquent mécaniquement : un apport maîtrisé, des protéines suffisantes, une densité énergétique raisonnable, et une activité douce régulière. Ce cadre réduit les fringales, donc les écarts. La perte n’est pas linéaire, mais elle progresse.
Les avis vérifiés en ligne indiquent une satisfaction globale élevée, avec une moyenne autour de 4,5/5 sur plusieurs milliers d’évaluations. Les points plébiscités reviennent souvent. Simplicité d’usage. Variété des plats. Disponibilité des diététiciens. Pour le sport, le format en direct crée un engagement supérieur aux vidéos enregistrées. Les corrections et l’émulation de groupe encouragent la régularité. Le suivi diététique se démarque par des conseils applicables. Par exemple, choisir une collation riche en protéines à 16 h pour éviter le grignotage du soir. Ou apprendre à composer une assiette quand un plat est plus riche en féculents que prévu.
Certains points d’amélioration existent. L’impact environnemental des emballages reste une préoccupation. La marque communique sur des solutions de réduction et de recyclage, sans que tout soit parfait. L’origine de certaines protéines animales et de produits de la mer gagnerait à être plus détaillée. La transparence progresse, mais l’exigence des consommateurs progresse aussi. Ce regard critique est sain. Il pousse à l’amélioration continue, sans invalider la qualité nutritionnelle constatée.
Les objections fréquentes méritent une réponse directe. “Le prix est élevé.” Le coût hebdomadaire se situe souvent entre 90 et 130 euros selon la durée d’engagement, livraison comprise. En échange, les courses sont réduites, la cuisine simplifiée, les écarts maîtrisés. Par comparaison, additionner déjeuner à l’extérieur, snacks, dîners livrés et petits extras dépasse vite ce budget. “Les plats préparés, ce n’est pas bon.” Les retours sur le goût sont majoritairement positifs pour des plats sous vide, surtout une fois dressés dans une assiette, agrémentés d’herbes, et complétés par une crudité. “Et après, je fais quoi ?” Le suivi prévoit des appels d’autonomisation, une phase de stabilisation, et un jour libre chaque semaine pour apprendre à gérer la vraie vie. L’objectif est de transmettre des réflexes, pas de créer une dépendance.
Un cas concret aide à visualiser. Une cadre urbaine de 38 ans, deux enfants, journées denses, ressent des ballonnements et un coup de fatigue à 16 h. Elle sélectionne une formule sur quatre semaines. Elle conserve son yoga hebdomadaire et ajoute deux séances de 30 minutes. Elle complète chaque plat par une portion de crudités et un laitage nature. Elle boit 1,5 litre d’eau par jour. Résultat attendu : une perte progressive, une satiété mieux gérée, moins de grignotages, un sommeil amélioré et un ventre moins tendu. Ici, le succès ne relève pas de la volonté pure. Il vient de la friction réduite par l’organisation.
- Gains observés par les clients : satiété plus stable, faim tardive mieux contrôlée, énergie plus régulière.
- Atouts cités : plats variés, coachs disponibles, diététiciens pédagogues.
- Freins signalés : volume d’emballages, traçabilité perfectible de certaines matières premières.
- Réponses efficaces : recyclage organisé, dressage soigné, compléments en fruits et légumes frais.
- Résultat pratique : perte durable quand la régularité est au rendez-vous.
La preuve ne tient pas à une promesse, mais à un mécanisme simple répété sans relâche. C’est exactement ce que Qilibri installe.
Les retours sociaux confirment souvent ce qui se voit en consultation diététique : quand le cadre est clair, les progrès suivent.

Comparatif 2025 : Qilibri face aux autres programmes (WeightWatchers, Comme J’aime, Dietbon, et plus)
Le marché est foisonnant. Chaque marque propose une porte d’entrée différente. L’enjeu n’est pas de faire le tri par popularité, mais par adéquation à votre vie. Qilibri se positionne sur une approche complète qui réunit repas livrés, suivi diététique et coaching sport. Cette combinaison crée un raccourci organisationnel appréciable. Voyons les alternatives pour comprendre où se situent les nuances et les limites.
WeightWatchers repose sur un système de points, une application riche et une communauté très active. C’est pertinent pour ceux qui aiment cuisiner et veulent rester libres de leurs choix au quotidien. En revanche, cela demande du temps mental pour intégrer les équivalences et faire des courses adaptées. Qilibri gagne en simplicité immédiate grâce aux repas fournis. Comme J’aime délivre aussi des repas hypocaloriques. La contrepartie est une flexibilité moindre sur la personnalisation et l’absence de cours de sport en direct. L’accompagnement existe, mais il est perçu comme plus standardisé.
Dietbon livre des plats et inclut un suivi diététique. L’offre est solide et appréciée pour le goût. L’absence de coaching sportif live est un point à considérer si l’on veut être accompagné sur le mouvement. So Shape propose des challenges basés sur des shakes et des smart meals. Le format séduit par la rapidité, mais la monotonie et le retour à une alimentation “classique” peuvent poser question pour la stabilisation. MinciDélice vise plutôt une logique low-carb avec de nombreux substituts et en-cas protéinés. C’est efficace pour certains profils, moins adapté à ceux qui préfèrent une cuisine plus “familiale”.
Les Commis Minceur s’adressent à celles et ceux qui aiment cuisiner, avec des paniers à préparer chez soi. Cette pédagogie culinaire est intéressante. Elle demande du temps en cuisine et une discipline hebdomadaire pour gérer les produits frais. Jenny Craig, plus répandue dans les pays anglo-saxons, fonctionne avec des repas livrés et un coaching. Sa présence en France est moins marquée, ce qui peut limiter l’accès aux services. Cheef propose aussi des plats prêts à consommer, avec une image moderne. L’accompagnement est variable selon les formules. Anaca3, de son côté, est une marque de compléments. Cela peut aider en appoint, mais ne remplace ni un cadre alimentaire, ni un vrai suivi.
Deux critères pèsent dans la décision. Le temps disponible et l’envie de cuisiner. Si l’emploi du temps laisse peu de marges, Qilibri simplifie l’organisation. Si la cuisine est un plaisir et que l’on veut garder la main, WeightWatchers ou Les Commis Minceur peuvent convenir. Autre critère : l’accompagnement. Qilibri se distingue par la présence conjointe de repas, de diététique et de sport en direct. Ce trio réduit le risque d’abandon. Il accélère l’apprentissage. Le prix hebdomadaire (environ 90 à 130 euros selon la durée) se compare aux dépenses courantes cumulées : déjeuners à l’extérieur, livraisons du soir, extras de boulangerie. L’écart réel est souvent moindre qu’on ne le pense.
Le regard critique est utile. Un format “shakes” comme So Shape peut démarrer vite, mais l’autonomie à long terme doit être préparée. Un programme très restrictif rend les invitations difficiles et augmente le risque de craquage. À l’opposé, un cadre trop libre dilue l’effort et étale la perte sur trop de temps. Qilibri cherche un équilibre entre tutorat et liberté. Les 6 jours encadrés sécurisent. Le jour libre responsabilise. Les appels d’autonomisation aident à tenir après le programme. Ce point est décisif pour éviter le yo-yo.
- Si l’objectif est la simplicité immédiate : Qilibri ou Cheef.
- Si l’envie est d’apprendre à cuisiner léger : WeightWatchers ou Les Commis Minceur.
- Si l’on préfère un cadre strict à court terme : So Shape, avec une vraie stratégie de transition ensuite.
- Si l’on veut des plats livrés + diététique éprouvée : Dietbon, avec une réflexion sur l’activité physique à côté.
- Si l’on pense compléments : Anaca3 ne remplace pas un cadre alimentaire, c’est un éventuel appoint.
Conclusion comparative claire : pour un quotidien chargé, Qilibri coche le plus de cases utiles, du lundi matin au dimanche midi.
Un comparatif vidéo aide à visualiser les différences d’usage. Le bon choix est celui qui vous simplifie la semaine sans vous enfermer.

Bien utiliser Qilibri au quotidien : stratégies concrètes pour réussir et rester autonome
La réussite se joue dans les petits gestes répétés. Programmez la réception du colis le jour où le frigo est presque vide. Dressez un plan visible sur le frigo pour les 6 jours encadrés. Listez vos rendez-vous, vos entraînements et vos contraintes. Puis placez les repas, la collation et les séances live dans ce calendrier. Un cadre visible réduit le risque d’oubli et la tentation des solutions de secours trop riches.
La satiété s’optimise avec des ajouts simples. Une assiette de crudités ou une soupe de légumes en entrée. Un laitage nature ou un yaourt grec en dessert les jours d’entraînement. Une poignée de fruits rouges sur le muesli du matin. Ces compléments apportent fibres, calcium, vitamines. Ils soutiennent le microbiote et limitent les envies de sucré. Pour l’hydratation, visez 1,5 à 2 litres d’eau par jour. Le café et le thé peuvent compter, mais l’eau reste l’alliée principale pour éviter la fausse faim liée à la soif.
Le jour libre apprend l’autonomie. Inspirez-vous de la structure des jours encadrés. Conservez une source de protéines (poisson, œufs, tofu, poulet). Ajoutez une belle part de légumes. Ajustez les féculents selon la faim et l’activité. Si un repas de famille s’annonce plus riche, allégez le repas précédent. Si un apéritif se profile, posez un objectif clair : une boisson, deux petites assiettes, puis on passe à la discussion. L’important est d’éviter l’engrenage “tant pis, j’ai craqué”. Une décision posée à l’avance protège la suite.
Les séances de sport gagnent à être planifiées comme des rendez-vous professionnels. Programmez deux à trois cours live par semaine. Choisissez un niveau accessible pour rester régulier. Le yoga ou le pilates renforcent en profondeur. Le CAF ou la zumba augmentent la dépense et dynamisent l’humeur. Les jours très chargés, optez pour 20 minutes de marche rapide. Trois marches de 10 minutes, matin-midi-soir, font aussi la différence. L’idée n’est pas la performance, c’est la constance.
Le dressage compte. Réchauffer, transvaser, ajouter des herbes, une pincée de graines, une rondelle de citron. Le cerveau mange avec les yeux. Un plat soigné évite l’impression de “régime triste”. Surveillez vos sensations avec une échelle simple de faim et de satiété de 0 à 10. Commencez à manger vers 3. Arrêtez vers 7. Cette écoute vous guide mieux que la balance au jour le jour. Pesez-vous une fois par semaine, au même moment, dans les mêmes conditions.
Sur le plan budgétaire, anticipez. Comparez votre dépense habituelle (déjeuners extérieurs, livraisons, snacks). Puis décidez d’un nombre de semaines Qilibri. Profitez du tarif dégressif si l’engagement vous motive. Le parrainage peut réduire la facture. Et gardez en tête l’économie indirecte : moins d’achats impulsifs, moins de gaspillage. Côté déchets, triez cartons et barquettes selon votre commune. Conservez quelques barquettes propres pour des meal preps maison après le programme.
- Collez le planning Qilibri au frigo et synchronisez-le avec votre agenda numérique.
- Ajoutez systématiquement légumes, herbes, et un laitage nature quand l’entraînement est prévu.
- Planifiez vos trois séances sport ou marches hebdomadaires comme des rendez-vous non négociables.
- Utilisez l’échelle faim/satiété 0–10 pour guider les portions.
- Pesez-vous une fois par semaine, pas tous les jours.
Cette méthode ancre un réflexe simple : quand la vie déborde, le plan tient, et quand la vie se calme, on garde les bons réflexes.

Signaux d’alerte et limites à connaître avant de démarrer Qilibri
Un programme minceur reste une décision de santé. Certains profils doivent demander un avis médical. Les personnes sous insuline ou traitements pour le diabète ajustent les doses en fonction de l’apport alimentaire. Un changement rapide d’apport sans suivi peut exposer à des hypoglycémies. Les personnes avec insuffisance rénale avancée nécessitent un encadrement spécifique pour les protéines. Les femmes enceintes ou allaitantes ont des besoins particuliers. Un parcours avec un diététicien reste indispensable dans ces situations.
Des signes doivent alerter. Une fatigue inhabituelle qui persiste. Des vertiges répétés. Une faim irrépressible malgré les repas. Une constipation tenace ou, au contraire, des diarrhées prolongées. Des troubles du sommeil qui s’aggravent. Dans ces cas, il faut ajuster vite avec le diététicien, et consulter si les symptômes persistent. La perte de poids ne doit jamais se faire au prix de l’énergie ou de la santé mentale.
Attention aux compléments présentés comme des accélérateurs. Des marques comme Anaca3 peuvent avoir leur place en appoint, mais elles ne remplacent ni la structure des repas, ni l’activité physique, ni le suivi. Méfiez-vous des promesses de “perte de 5 kilos en une semaine”. Le corps suit ses propres rythmes. Une perte rapide est souvent suivie d’une reprise. La stabilité se construit sur des ajustements raisonnables. Les substituts de repas pris seuls sur de longues périodes, comme certains formats proches de So Shape, demandent une stratégie de transition claire, sinon le retour à une alimentation courante provoque des reprises.
Le marketing peut brouiller les cartes. Une photo appétissante ne dit rien de l’équilibre nutritionnel. Lisez les listes d’ingrédients. Recherchez des protéines claires, des fibres, un sel mesuré. Sur Qilibri, la plupart des plats se placent bien sur ces critères. La transparence sur l’origine de chaque matière première peut progresser. Pour un consommateur attentif au local ou aux filières certifiées, poser des questions au service client est utile. Les réponses sont habituellement rapides et précises, notamment sur les normes de production.
Une autre limite tient à l’organisation des déchets. Les repas emballés génèrent des volumes de cartons et de plastiques. Des efforts de réduction sont en cours. Le recyclage dépend des communes. Triez et réduisez en compactant. Réutilisez ce qui peut l’être pour des préparations maison. La question environnementale ne doit pas être balayée, mais elle ne doit pas éloigner de l’objectif santé si le programme vous aide clairement.
Enfin, ne cumulez pas tout. Qilibri plus un programme parallèle type WeightWatchers plus une cure de substituts n’apporte pas plus de résultats. Cela augmente la charge mentale et le risque d’abandon. Choisissez un chemin cohérent. Tenez-le huit à douze semaines. Évaluez. Ajustez. L’excès de contrôle crée le chaos. La clarté, elle, crée des habitudes.
- Consultez en amont si diabète, insuffisance rénale, grossesse, troubles du comportement alimentaire.
- Stoppez et consultez en cas de vertiges, fatigue persistante, troubles digestifs prolongés.
- Évitez la multiplication des méthodes. Un seul cadre, bien suivi, suffit.
- Surveillez la lecture des étiquettes : protéines, fibres, sel, qualité des graisses.
- Intégrez l’environnement dans votre choix, sans renoncer à votre santé.
La meilleure protection, c’est l’information. Un choix éclairé se tient dans le temps et produit des résultats paisibles.
Questions fréquentes sur Qilibri en 2025
Qilibri convient-il aux végétariens ou aux personnes avec des intolérances ?
Oui. Le catalogue propose des plats végétariens et des options adaptées. Lors du bilan, il est possible de préciser les préférences et contraintes (sans porc, sans lactose, etc.). Le diététicien vérifie la cohérence du plan et propose des ajustements si besoin.
Faut-il ajouter des aliments aux repas Qilibri ?
Oui. Pour optimiser les apports, il est recommandé d’ajouter des fruits et légumes frais, et un laitage selon les jours. Cela augmente les fibres, les vitamines et la satiété, surtout en cas d’entraînement.
Quel rythme de perte de poids attendre avec Qilibri ?
La perte varie selon le métabolisme et l’activité. Beaucoup observent une baisse sur les deux premières semaines, puis un rythme de 0,5 à 1 kg par semaine. La régularité du cadre et le sport influencent fortement ce rythme.
Comment gérer les repas à l’extérieur pendant le programme ?
Conservez la structure. Choisissez une source de protéines, des légumes en quantité, et ajustez les féculents selon la faim. Si un plat est riche, allégeez la collation suivante. L’idée est d’éviter deux écarts d’affilée.
Qilibri est-il compatible avec d’autres programmes (WeightWatchers, Dietbon, etc.) ?
Il est déconseillé de cumuler plusieurs méthodes en même temps. Choisissez un cadre unique. Si besoin, passez à une autre approche après une période d’évaluation, pas en parallèle. La clarté augmente vos chances de succès.
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